Projet Osez Rêver

Le suivi des aventures de Youna et sa famille, conforte l’association Regard de Bébé Plume dans la nécessité d’apporter aux familles d’enfants en situation de handicap des services spécifiques dans un même lieu.

De plus, la réussite de la mise en place des actions, comme les stages de rééducation intensive et les après-midi parent’aise prouve ce besoin. Ces enfants et par extension leur famille ont des besoins particuliers dès le plus jeune âge.

Soutenue par plusieurs associations et thérapeutes locaux, Regard de Bébé Plume souhaite proposer en un même lieu, des services de qualité qui répondent à ces besoins et participent à l’amélioration de leur santé et de leur bien-être.

Ce projet a un nom : Osez Rêver.

Oser rêver d’un lieu où le handicap n’est pas une fatalité.

Le besoin de rêver pour avancer

Les parents ont besoin de soutien dans cette épreuve, mieux ils seront informés, soutenus et accompagnés, moins l’impact sera négatif sur leur projection et projets d’avenir.

(Re)trouver sa place dans la société pour chacun des membres de la famille

L’enfant en tant qu’enfant et que son handicap ne soit pas son identité et le parent en tant que personne, avec des ateliers Parent’aise pour les parents (un après midi de 2 h pour soi) et des ateliers Snoezelen pour les parents et les enfants.

L’accès à une rééducation neuromotrice de qualité, visant une meilleure autonomie 

Si l’enfant bénéficie d’une prise en charge précoce et adaptée, il augmente ses chances d’accès à une meilleure autonomie. Ces enfants ont besoin de faire de la rééducation de façon intensive et répétitive.
Cette rééducation intensive est proposée sous forme de stages ( 4 à 5h de thérapie par jour) de 2 semaines dans plusieurs pays comme la Pologne, la Belgique, l’Espagne… En France, de plus en plus d’associations tentent de proposer des stages similaires grâce à la solidarité des particuliers et des entreprises, soutenues par les récentes recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS).

Le soutien à la parentalité atypique

En organisant des cafés parents sur des thèmes liés à l’handi-parentalité pour lutter contre la solitude et l’isolement.

La réussite de ce projet dépend aujourd’hui de l’obtention de plusieurs subventions et sollicitation de dons.

L’association a besoin de créer un emploi de coordinateur et d’un local de 200m², soit une enveloppe de minimum 70000€ minimum pour se lancer.